Presque les 3/4 des habitants de la capitale sont dans les embouteillages la plus part du temps, moi y compris. En vivant en banlieue, je dois me changer de bus deux fois avant d'arriver à mon bureau, et je vis ce rythme depuis que j'étais petite.
Ce matin, en partant à 6h30mn du matin, j'espérais arriver au bureau à 8h. Mais ce n'était pas le cas, car j'étais coincée au milieu des embouteillages. Ce matin, la circulation était trop bouchée pour qu'aucune voiture ne puisse avancé, et je vous dis pas le mécontentement de tous les passagers.
Ces embouteillages sont dues surtout aux bus sans scrupules qui font descendre les passagers là où il ne faut pas et d'y stationner pendant des minutes. De plus sur la route se trouve un arrêt de bus, l'arrêt d'Anosizato. Un arrêt minutes d'habitude mais les bus ne se rend pas compte que plus ils stationnent là longtemps, plus ils créent des embouteillages.
Donc à 6h45mn, je suis arrivée dans le bus attendant le départ. 6h50, voilà, on part, mais après quelques minutes, la voiture s'est arrêtée subitement. Les embouteillages commencent. Et celà a duré pendant une heure et demi, une trajet qui devrait être fait en 30 mn se fat en une heure et demi. De plus, le bus s'est arrêté au tous les arrêt qui existe sur le chemin environ un trentaine, alors imaginez la colère de tout le monde, car en plus d'être coincés dans les embouteillages, le chauffeur et son compagnon aggrave encore le retard.
Bon, à 'arrivé du terminus, j'ai dû opter pour un taxi pour me rendre au boulot, le taxi en a bien profité car j'en avais besoin de toute urgence.
Finalement, je suis arrivée au bureau à environ 9h moins 10, presque une heure de retard.
La journée s'est bien passée, mais j'ai due rentrer à 18h vue mon retard du matin.
Quelqun m'avait envoyer ce petit poème pour me remonter le morale, alors je vous l'envoi aussi.
